Publié par Isabelle le 18 octobre 2023
Etudiants en Master Grande Ecole, Paul et Dylan vont apporter leur appui à l’association durant les 6 prochains mois.
Je m’appelle Paul Meril, j’ai 23 ans et je suis originaire de Rennes.
Je suis actuellement étudiant au sein du Master Programme Grande Ecole au sein de Kedge Business School. Ce cursus m’offre la possibilité d’effectuer une année de césure, qui a pour objectif de réaliser des expériences professionnelles mais également associatives.
Il y a quelques semaines, j’ai rejoint l’association « Espoirs d’Enfants » dans le cadre de mon pro-act entreprendre. J’ai eu la chance de rencontrer Isabelle, présidente de l’association. Nous avons pu échanger sur les différents projets associatifs liés à l’éducation, la santé et le logement, qui ont pour but d’aider les personnes dans le besoin au Bénin, en Inde et à Madagascar.
J’ai souhaité m’investir au sein de l’association pour les 6 prochains mois car je suis en phase avec les intérêts, les objectifs et le fonctionnement d’Espoir d’Enfants.
J’ai rejoint l’association avec Dylan Chirinian, un ami de mon école et nous pensons qu’à deux nous serons plus forts pour mener à bien les projets associatifs. A côté de cette expérience associative, je viens d’intégrer l’aventure SAP en tant que Stagiaire Business Developer dans l’équipe Avant-Vente Finance et Risques.
Je suis très content de pouvoir combiner mon expérience professionnelle avec l’expérience associative.
Moi c’est Dylan, 22 ans, originaire de la région lyonnaise, passionné par l’automobile et les nouvelles technologies. Étudiant en Master 1 du Programme Grande École de Kedge business school à Marseille.
J’ai choisi d’intégrer pour les 6 prochains mois l’association Espoirs d’Enfants dans le cadre de mon pro act entreprendre avec mon collègue et camarde de classe Paul Meril, pour apporter mon imagination, mes idées et mon savoir-faire.
Issue de la diaspora Arménienne, je suis sensible aux causes que défend Espoirs d’Enfants. J’ai ce besoin d’aider celles et ceux qui n’ont pas eu l’opportunité, comme moi, de grandir dans un pays développé. Le projet Espoirs d’Enfants allant dans ce sens, il m’est paru normal de l’intégrer et participer à son évolution.
