Publié par Isabelle le 30 juillet 2024
Sandrine et Guislaine sont depuis 10 jours au Bénin. A mi-parcours de leur séjour, elles nous font part de leurs ressentis sur ce séjour si loin de leur quotidien et qu’elles apprécient beaucoup.
“Depuis notre arrivée les journées défilent à une vitesse grand V entre découverte du pays et des coutumes, appui aux équipes et à l’association France qui profite de notre séjour sur place pour mettre en place de nouvelles actions. Mais avant d’aller plus loin, flash back sur nos ressentis depuis notre arrivée. “soulignent Sandrine et Guislaine.
“Lors de notre arrivée nous avons pris possession de nos chambres. Nous sommes très bien logées au diocèse. Nos logements sont très confortables et propres. Tout le personnel est très agréable avec nous et de fait nous avons sympathisé avec la femme de ménage et les agents de sécurité.
Concernant les repas, rien à dire. Les repas sont bons, il y a du choix sur la carte. Yaceinth qui est le représentant de l’association et qui habite sur place est présent et très disponible.
Lorsque nous sommes allés sur le terrain avec Ismaël le lundi, nous nous sommes rendus compte que sur le marché les conditions de travail sont assez difficiles. Les mamans, les tutrices et les jeunes filles sont très accueillantes et toujours contentes de nous voir.
A la carrière, les enfants courent vers nous pour nous accueillir le matin et courent derrière nous, très joyeusement, quand on repart. Les enfants recherchent notre contact: câlins, pendre la main, venir sur les genoux, jouer avec nous.
Dans la rue, même sur le zem, la population nous salue. Batoure ! (Ce qui veut dire “les Blanches !”) crient les enfants sur notre passage. Les premiers trajets en zem, j’avais peur et me cramponnais fort. Mais très vite j’ai pris l’habitude. Maintenant ça roule.
En résumé, nous avons le sentiment de vivre une aventure humaine exceptionnelle. Tout le monde sans exception nous salue dans la rue, avec le grand sourire, sans être intrusif pour autant. Cette expérience est véritablement le voyage de notre vie ” soulignent d’une même voie Sandrine et Guislaine.
–
